« J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontr? Victorien Salagnon, il ne pouvait ?tre pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obs?de, qui n'arrive pas ? finir, il avait parcouru le monde avec sa bande arm?e, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris ? peindre. Il devait ?tre le seul peintre de toute l'arm?e coloniale, mais l?-bas on ne faisait pas attention ? ces d?tails. Il m'apprit ? peindre, et en ?change je lui ?crivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le ...