"Hermann und Dorothea", 1796/97 entstanden und 1798 publiziert, ist eine «idyllisch-epische» Dichtung in Hexametern, deren neun Ges?nge nach den Musen benannt sind. Die Handlung spielt in einem rechtsrheinischen St?dtchen und schildert einen Fl?chtlingszug aus Frankreich im Gefolge der Revolutionswirren. Ideologisch setzt sich Goethe darin mit der Franz?sischen Revolution auseinander. Die Handlung spielt unter den Honoratioren des Ortes — dem beg?terten Wirtsehepaar zum Goldenen L?wen, dem Apotheker und Pfarrer — und hat zum Mittelpunkt die Brautwahl. Hermann, der Sohn der Wirtsleute, und das Fl?chtlingsm?dchen, die ebenso sch?ne wie t?chtige und mutige Dorothea, werden ein Paar. Im 19. Jahrhundert wurde die Dichtung ?beraus hoch gesch?tzt, weil sie b?rgerliche Lebensvorstellungen und Geschlechterstereotypien, nicht ohne Ironie von Seiten des Erz?hlers, in klassischer Form gestaltet.
Hofiz ijodidan namunalarni o‘zbek tiliga Xurshid, Muinzoda, Chustiy, Vasfiy, Sh. Shomuhamedov, J. Jabborov, E. Vohidov, M. Kenjabek, O. Bo‘riyev kabi fors-tojik adabiyotining bilimdonlari tarjima qilganlar.
Johann Wolfgang Goethe schrieb im Jahr 1786 sein B?hnenst?ck nach der Vorlage von Euripides’ . Das zun?chst in Prosa angelegte Werk wurde von ihm dann in Verse umgeformt.
Oeuvre fondatrice de la po?sie italienne, ?pop?e po?tique et m?taphysique, ce voyage initiatique menant ? la clart? divine, s'ouvre sur la travers?e des neuf cercles de l'Enfer, sondant ? la fois la symbolique chr?tienne et les recoins les plus funestes de l'?me humaine.
Oeuvre fondatrice de la po?sie italienne, ?pop?e po?tique et m?taphysique, ce voyage initiatique menant ? la clart? divine, s'ouvre sur la travers?e des neuf cercles de l'Enfer, sondant ? la fois la symbolique chr?tienne et les recoins les plus funestes de l'?me humaine.
Tutoyant avec aisance, contre vents et mar?es des modes, une forme classique tr?s ma?tris?e, Michel Houellebecq met en sc?ne dans ses po?mes un quotidien tr?s contemporain et tr?s urbain. Ses vers nous parlent de lui, nous parlent de nous et acc?dent ? l'universel, installant ainsi leur auteur, comme un Villon de la modernit?, au rang des grands po?tes populaires.
« Ce n'est pas cela, (…) Il y a quelque chose qu'il faudrait faire, que je ne fais pas. On ne m'a pas appris. Cette ann?e, j'ai beaucoup vieilli. J'ai fum? huit mille cigarettes. (…) Il doit pourtant y avoir une fa?on de vivre ; quelque chose que je ne trouve pas dans les livres. (…) Je ne respecte pas l'homme ; cependant, je l'envie. »Dans ce « monde confus, homog?ne », Michel Houellebecq entame « un dialogue de haine ». Il narre l'humanit? compromise, la communication atrophi?e, la vanit? ravageuse des ?changes lib?raux – et t?moigne d'une abjecte impossibilit? ? vivre.Sa po?sie, implacable, consigne m?ticuleusement les stigmates de la la souffrance humaine. Avec une am?re violence, elle condamne, sans recours possible, tout espoir. Seules restent, ?trangement fertiles, l'ultime justesse et la g?n?rosit? d'une sensibilit? singuli?re.